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Z comme…RoZe

Vu le nombre de site internet qui évoquent la manufacture Roze, vous pouvez en déduire que l’entreprise jouit d’une grande notoriété.

(voir aussi ici, ici, encore ici, et même et ).

La famille Roze s’est illustrée dans la fabrication d’étoffes de soie. Le premier membre de la famille à s’établir à Tours est Jean-Baptiste Roze-Moussart, fils d’un marchand-fabricant picard. Il obtient le titre de « maître marchand fabricant d’étoffes d’or, d’argent et de soie » et devient conseiller du roi. Son fils, Antoine Roze (1675-1756), conseiller du roi et juge garde de la Monnaie de Tours, procureur du roi à l’hôtel de ville, prend sa suite. En 1819, Frédéric Pillet-Roze reprend l’activité de la manufacture de soieries ; il est l’un des premiers à utiliser les métiers Jacquard.
Installés à la barrière Sainte-Anne, les ateliers sont détruits dans un incendie survenu en 1872. Aujourd’hui, la manufacture est installée à Saint-Avertin

Le square prend son nom actuel par délibération du 28 mai 1979.
Square Roze, Tours

(C) Geoportail

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Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Il y a, parmi les aviateurs célèbres, quelques Tourangeaux, dont Victor Lasalle, Jean Foiny et plusieurs membres de la famille Tulasne.

Jean Foiny naît le 8 août 1890 à Niherne (Indre). Tout d’abord menuisier-ébéniste à Tours, il intègre le 1er régiment d’artillerie de campagne de Bourges en 1911. Mobilisé en 1914, il devient élève dans l’aviation en 1915. Le 16 septembre 1918, il est abattu en combat aérien, et fait prisonnier par les Allemands mais réussit à s’évader quelques mois après. Jean Foiny est nommé adjudant le 1er septembre 1919. Devenu adjudant-chef (1923), il forme des élèves pilotes, entraîne des pilotes brevetés et assure les essais de plus de 600 avions. Il détient le record de vitesse des 1000 km.
Foiny meurt le 19 mai 1925 dans un accident d’avion.

L’allée de l’adjudant Foiny prend son nom actuel par délibération du 26 mai 1961.

Le Cercle généalogique de Touraine a publié un article sur les Tulasne, que vous trouvez ici et vous pouvez consulter le site aéroplane de Touraine ici,  pour en savoir plus sur Jean Foiny.

arabesqueSource
– Gascuel, op. cit.

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X comme…MoineauX

Jacques Joseph Désiré Moineau, plus connu sous son nom de plume, Jules Moinaux(1), est un écrivain et humoriste français, dramaturge, chroniqueur et librettiste. Né à Tours le 24 octobre 1815 au 34 rue Eugène Sue (ancienne rue des Anges) (voir on acte de naissance ici), il est le fils de Jacques Joseph Moineau, ébéniste, et d’Anne-Françoise PHILIPPE.
Jules Moinaux commence par apprendre le métier de son père, puis il devient employé aux écritures dans une grande banque. Mais rapidement, il préfère vivre de sa plume, et devient journaliste et rédacteur-sténographe au Palais de justice de Paris.

Dès la fin des années 1840, il commence à écrire des pièces comiques qui remportent un franc succès. À partir de 1853, son talent comique est remarqué par Jacques OFFENBACH, pour qui il écrit Pépito et Les Deux Aveugles (1855). Il devient chroniqueur judiciaire à La Gazette des Tribunaux et au Charivari. Il s’inspire des débats des procès correctionnels et en profite pour faire la satire de son époque : il souligne d’un trait acéré, l’aspect burlesque des petites scènes de prétoire.

« Vous êtes un des conteurs les plus originaux et les plus désopilants qui aient jamais existé dans notre pays de France. Vous puisez à la source inépuisable de la perversité, ou plutôt de la bêtise humaine ; car ce qui fait le mal en ce monde, ce n’est pas la méchanceté, c’est la bêtise. »

Alexandre Dumas fils, préface de Le Bureau du commissaire, 1886

Jules Moinaux est le père de Georges Courteline. Il meurt le  à Saint-Mandé.
La maison natale de Jules Moinaux, construite au XVIè siècle, se situe au 34 rue Etienne-Marcel à Tours. Elle est classée au titre des MH depuis 1948.

La rue Jules Moinaux, ancienne rue Molière en 1792 puis rue Saint-Pierre en 1816, prend son nom actuel par délibération du 21 octobre 1898.Rue_Moinaux

(1) « Moinaux ou Moineau ? Le patronyme semble n’avoir jamais été fixé définitivement. Le père de Joseph-Désiré inscrit son fils sous le nom de Moineau mais signe Moinaux. Un oncle, né en 1826, est enregistré sous le nom de Morinaux et opte plus tard pour Moineaux… Les générations suivantes utiliseront Moinaux ou Moineau indifféremment, sans que jamais le choix soit signifiant. » Emmanuel Haymann, Courteline, Paris, Flammarion, 1990.
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Sources
– Gascuel, op. cit.

– Viallès, op. cit.
http://www.crcrosnier.fr/preb03/moinaux-preb3.htm


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W comme…Wedells

Enfin une femme dans ce Challenge AZ 2021 ! (voir ici pour connaître les femmes qui  ont laissé leur nom à une rue de Tours).

Jeanne Wedells, de son nom de jeune fille, Françoise Adèle Decreuse, naît le 3 juin 1849 à Frétigney (Haute-Saône). D’une famille modeste, elle épouse un homme fortuné d’origine autrichienne, Léopold Wedells. Les Wedells possédaient un appartement, avenue de Grammont, à Tours. Devenue veuve, Jeanne Wedells s’installe dans la villa Chanteclerc à Sainte-Radegonde. Sans enfant, elle lègue une partie de sa fortune au bureau de bienfaisance de la ville. Elle décède au 24 avenue de Grammont à Tours, le 18 décembre 1921 (voir son acte de décès ici).

Autrefois rue du chemin vert, puis rue du chemin des Réaux et rue des Fallières, la rue prend son nom actuel par délibération du 24 juin 1923.
rue_Wedells

arabesque

Source
– Gascuel, op. cit.

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V comme…Vivier

« Je suis de souche charentaise, né par accident en Loir-et-Cher. Je suis tourangeau d’adoption. »

Encore un Tourangeau dont j’ignorais le nom et le rôle dans l’histoire locale. C’est d’autant plus étonnant qu’il a écrit de nombreux ouvrages, certes anciens, sur la Touraine. Mais ce n’est pas là son seul talent.

Paul-Robert Vivier est né à Chitenay (Loir-et-Cher) le 14 août 1891, dans une famille modeste (son père est menuisier et sa mère institutrice). Il fait des études à Blois, au lycée Augustin Thierry, où il rencontre entre autres, Gallier, futur pharmacien et Henri Laigret, médecin qui a découvert le vaccin contre la fièvre jaune avec un certain Sellards. Il obtient son baccalauréat en 1910 puis poursuit ses études à Lyon (classes de khâgne et d’hypokhâgne). Il passe son agrégation d’histoire à Paris en 1914. Il entre dans l’enseignement, d’abord à Angoulême, puis à Strasbourg et ensuite au Lycée Descartes de Tours. Il est ensuite nommé inspecteur d’Académie. À partir de 1940, il achète une maison située 1 rue François Arago à Tours (il habitait auparavant en location, rue Jourdan puis impasse Heurteloup).
Vétéran de la Première mondiale*, il est révoqué en 1942 du fait de son appartenance à la Franc-maçonnerie. Il rejoint alors la résistance et protège des communistes, des Juifs, des prisonniers de guerre, des évadés, favorise leur passage en zone libre et transporte du courrier clandestin. A la Libération, il est nommé Préfet d’Indre-et-Loire. En 1946, Robert Vivier est nommé inspecteur général de l’Instruction Publique. Promu officier de la Légion d’Honneur (il avait été nommé Chevalier en 1935), au titre du ministre de l’Intérieur, il prend sa retraite de Préfet en 1948 pour devenir Inspecteur général honoraire de l’Instruction Publique et Préfet honoraire. Il milite au sein de la Ligue Française de l’Enseignement, de l’Université populaire ; il administre la Mutuelle générale de l’Éducation Nationale (MGEN).

Membre correspondant du Comité d’histoire de la Deuxième Guerre mondiale, il accomplit un travail d’historien considérable sur l’histoire de la Touraine.

Il décède le 3 septembre 1974 d’une crie cardiaque sur les marches de l’Hôtel de Ville de Tours, lors des fêtes de la Libération de la ville.

La rue prend son nom actuel par délibération du 16 février 1976.
rue_Vivier

*En août 1914, il est mobilisé et affecté au service de santé comme brancardier puis il part volontaire pour l’Armée d’Orient en 1915. Atteint de paludisme et de dysenterie, il est blessé et rapatrié en 1918 et démobilisé en 1919.
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source : musée de la résistance en ligne

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U comme…Ursulines

Après les lettres I et K, nouvelle entorse avec la lettre U. En effet, je ne vais pas vous parler d’une personne mais d’une communauté, celles des Ursulines, dont la membre la plus célèbre s’appelle Marie Guyart.
Le couvent des Ursulines est fondé en 1619 et établi en 1625 à la Petite Bourdaisière. (selon Gascuel, les Ursulines s’installent à Tours en 1620 et d’après le site des Ursulines de l’Union romaine, les Ursulines s’installent à Tours en 1622). Et quoi d’autre ? Rien puisque l’histoire des Ursulines de Tours est ensuite éclipsée _dans les textes contemporains du moins_ par l’histoire de Marie Guyart, devenue Marie de l’Incarnation, fondatrice des Ursulines de Québec.

Autrefois grand chemin de la Porte Neuve, puis rue du Poitou et rue de Voltaire, la rue prend son nom actuel par délibération du 10 août 1816.
rue_Ursulines (2)

Le commentaire de la guide
Des anciens bâtiments conventuels subsiste un grand bâtiment rectangulaire accompagné de deux pavillons, la nef de la chapelle Saint-Michel, attenante au logis de la Petite Bourdaisière. En revanche, la chapelle Saint-Joseph, édifiée en même temps que le logis de la Petite Bourdaisière, a été démolie en 1948.
La chapelle Saint-Joseph et les façades de la chapelle Saint-Michel sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 15 décembre 1941 (un nouvel ermitage St-Joseph est construit en 1985, identique à celui détruit en 1948).
L’ancien couvent accueille aujourd’hui Conservatoire régional de musique (création de l’Ecole de musique de Tours en 1876, qui devient Ecole Nationale de Musique en 1885 puis succursale du Conservatoire de Paris en 1925, puis Conservatoire National de Région en 1968).
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Sources
– Ranjard, La Touraine archéologique
– Gascuel, op. cit.
– site des Ursulines de l’Union romaine

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T comme…Taschereau

Jules-Antoine Taschereau naît à Tours le 28 frimaire an X (19 décembre 1801, voir son acte de naissance ici). Il est le fils de Jeanne Philippine Sophie Cahouet et d’Antoine Taschereau, juge au Tribunal civil du département d’Indre-et-Loire. Son père est également avocat au parlement, lieutenant particulier au bailliage et présidial de Tours, et en tant que monarchiste, a été emprisonné sous la Révolution (il ne doit sa survie qu’à la chute de Robespierre, et à son épouse). Jules-Antoine étudie le droit à Paris et collabore au Courrier français et au National.
Secrétaire général de la préfecture de la Seine au lendemain de la Révolution de Juillet, puis maître des requêtes au conseil d’État, il quitte le gouvernement en 1831, ses fonctions administratives pour briguer, comme candidat indépendant, la députation dans le 4è collège d’Indre-et-Loire (Chinon), et échoue une première fois, le , puis une seconde fois le 21 juin 1834. Il réussit à entrer à la Chambre, le , comme député du 3è collège d’Indre-et-Loire (Loches). Le , Taschereau est élu à l’Assemblée constituante pour représenter l’Indre-et-Loire, il est réélu, le , à l’Assemblée législative pour le même département.

Partisan du coup d’État du 2 décembre 1851, il est nommé par Louis-Napoléon Bonaparte, administrateur-adjoint de la Bibliothèque impériale en 1852. Il lègue une collection de livres rares à la bibliothèque municipale de Tours.
Taschereau meurt à Paris , des suites d’une attaque de paralysie.

La rue Taschereau prend son nom par délibération du 6 juillet 1964.
rue_Taschereau

Et qui d’autre ?
J’aurais pu vous parler de Marcel Tribut, maire de Tours.

arabesqueSources :
– Gascuel, op.cit.
– Wikipedia
https://www.cairn.info/revue-de-la-bibliotheque-nationale-de-france-2012-1-page-50.htm

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S comme…Sourdillon

Edmond selon Gascuel et Wikipedia, Emile selon la NR, Henri selon les actes de naissance et de décès, Sourdillon naît en 1860 à Lyon (voir son acte de naissance ici) et meurt le 03 août 1923 à St-Symphorien (voir son acte de décès ici). Professeur d’histoire au lycée Descartes, il devient directeur de l’Institut de Touraine qu’il fonde en 1912 (à l’époque, il s’agit d’une antenne de l’Alliance française qu’il destine à la création d’un cours de vacances pour personnes étrangères) (1). Il est également conseiller municipal de Tours en 1919.

Le square Sourdillon s’est d’abord appelé jardin Torterue, du nom de l’Hôtel particulier construit sur sa parcelle. Il prend ensuite le nom de jardin Grodvolle lorsque le Conservatoire de musique occupe l’Hôtel, puis celui de square Sourdillon.
Square_Sourdillon (2)

Et qui d’autre ?
J’aurai pu vous parler de Sicard, sculpteur.

(1) Depuis 1921, l’Institut est rattaché à la Faculté des Lettres de l’Université de Poitiers.
arabesque
Source
– Gascuel, op. cit.

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R comme…Ranjard

Né le 13 janvier 1881, à Montrichard (Eure-et-Loir), où son père était notaire, Robert Ranjard arrive à Blois en 1888, quand son père prend la direction de la succursale du Crédit Foncier. En 1898, son père est affecté à Tours. Robert suit sa famille dans la capitale tourangelle. Il entre à l’école de médecine à 17 ans, poursuit ses études et Paris, avant de s’installer définitivement à Tours où il exerce jusqu’en 1940. En parallèle, Ranjard effectue un travail d’historien et d’archéologue. Dès 1919, il entre à la Société archéologique de Touraine, dont il devient membre du conseil d’administration en 1935, vice-président en 1936 et dont il assure la présidence entre 1940 et 1949 (il est élu président d’honneur en 1957). En 1933, lors des fouilles entreprises au Prieuré St-Cosme, il identifie les ossements découverts comme étant ceux du poète Ronsard. Avant et après la Seconde Guerre mondiale, son rôle est décisif  dans l’inventaire du patrimoine tourangeau, sur l’état duquel il alerte les autorités. Victime d’un accident en 1948, il est contraint de réduire progressivement ses activités. Atteint de paralysie à la fin de sa vie, il décède le à son domicile, au 26 rue Bernard Palissy à Tours. Robert Ranjard est inhumé au cimetière de Saint-Symphorien

Ranjard est fait chevalier de la Légion d’honneur en 1953.

La rue prend son nom actuelle par délibération du 24 octobre 1966.

Et qui d’autre ?
Je vous ai déjà parlé de Rabache (voir ici).

Le commentaire de la guide
Dans ma bibliothèque (voir ici et ), j’ai quelques ouvrages qui sont mes « bibles » en ce qui concerne Tours. Parmi ces livres, il y a le Ranjard, avec lequel j’ai passé mon agrément de guide. Certes, le Ranjard est un peu vieux puisqu’il date de 1930 (sixième édition de 1975) mais il est très complet et détaillé. Pour les malheureux qui n’auraient pas l’immense bonheur de connaître la Touraine, le Ranjard s’appelle en réalité La Touraine archéologique.
LA TOURAINE ARCHEOLOGIQUE - Droit | Rakuten
NB : je découvre que j’ai vécu pendant plus de 20 ans à moins de 300 m de la rue Ranjard (qui communique avec la rue Lavollée et la rue Mirault. Ca non plus je ne le savais pas).

arabesqueSources
– Gascuel, op. cit.
– Laurencin, op. cit.
– Wikipedia


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Q comme…Querville

Tout comme la lettre K, je n’ai que peu de choix pour trouver un Tourangeau dont le nom commence par Q et qui a une rue à son nom à Tours : Quinet, historien français et Querville. Ce sera donc Querville.

Jean Marie Querville naît le 9 janvier 1903 à Tours (voir son acte de naissance ici). Il entre à l’école navale. Embarqué sur la croiseur Strasbourg, il participe à la guerre du Rif en 1925. Pendant la dernière guerre (septembre 1940), refusant la défaite, il rallie la France libre en Grande-Bretagne et, promu capitaine de corvette, est affecté à l’Etat-major des Forces navales françaises libres (FNFL) à Londres (2e bureau). En 1943, il est envoyé à Alger pour effectuer la liaison avec les forces navales françaises d’Afrique du Nord. Il participe au débarquement de Normandie en 1944. En juillet 1945, Jean-Marie Querville est nommé au grade de capitaine de vaisseau et reçoit le commandement du croiseur Suffren en Indochine. Ensuite, il prend le commandement de la Marine du Tonkin, charge qu’il assure jusqu’en 1951, et est trois fois cité, avant d’être nommé en Afrique. Il est fait amiral en 1960. Il meurt le 30 décembre 1967, près de Blois. Ses obsèques ont été célébrées en l’église Saint-Nicolas à Blois où il est inhumé.
Querville est fait Compagnon de la Libération par décret du 12 Janvier 1943. De nombreuses autres décorations lui sont attribuées.

La Place de l’Amiral Querville prend son nom par délibération du 16 février 1976.
Place Querville

arabesqueSources : Gascuel
Ordre de la Libération
http://ecole.nav.traditions.free.fr/officiers_querville_jean.htm
http://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article6016


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