B comme…brother-in-law
Ma pratique de la généalogie a évolué au fil des années. Au commencement, il y avait mes aïeux, puis mes bisaïeux et mes trisaïeux, et tous mes ancêtres directs que je pouvaient trouver, aussi loin que je puisse les trouver. Puis je me suis rendu compte De l’importance de chercher les fratries et les actes correspondants. Mais comme j’ai laissé beaucoup de collatéraux sur le carreau avant d’appréhender cette réalité, j’ai encore maintes fois l’occasion de confirmer cette évidence et je fais encore des découvertes grâce à la famille élargie. Qui sont donc ces frères/soeurs, cousins/cousines, oncles/tantes, neveux/nièces, que j’ai mis de côté ? Revenons sur certains d’entre eux.
Dans l’article, B comme…The Babadook, que j’ai écrit pour le Challenge AZ de 2022, j’expliquais que les cousins de mes ancêtres m’avaient parmi de remonter une génération. Petit rappel. En 2022, je partais sur les traces de Perrine Leconte, dont je ne connaissais ni la date ni le lieu de naissance, dont je ne connaissais pas les parents, dont je n’avais ni la date ni le lieu de mariage et pour laquelle je n’avais identifié que deux enfants. Grâce au mariage de l’un de ses enfants (un de mes collatéraux), des témoins présents (des cousins du marié, du côté paternel), j’ai pu remonter une génération. En effet, le mariage de ce collatéral avait eu lieu à Clefs mais les témoins étaient domiciliés à Vaulandry. La chance a un peu été de mon côté, car j’ai facilement trouvé les mariages des cousins, et ces actes de mariage étaient filiatifs. J’avais donc les noms de leurs parents. Et de nouveau, j’ai facilement trouvé le mariage des parents. Parents qui étaient donc les frères et beaux-frères de mes ancêtres.
Ils étaient une fois...bienvenue chez mes ancêtres. 
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